4ème de couverture : Ekhö est un monde miroir de la Terre. On y retrouve nos villes, nos pays, mais légèrement différents : l’électricité n’existe pas, les dragons remplacent les avions de ligne, les wagons du métro sont sur le dos d’étranges mille-pattes… Mais les plus étonnants sont les Preshauns qui, sous leurs airs de peluches formalistes, semblent tenir les rênes de ce monde… Une étudiante, Fourmille, et Yuri, son voisin de siège dans le 747 qui les amène à New York, se retrouvent propulsés sur Ekhö et doivent apprendre à y trouver leur place.
Ce qui se complique lorsque Fourmille se retrouve habitée par l’esprit d’une vieille tante morte… Une aventure fantastique, drôle et décalée, qui nous entraîne dans un étrange reflet de notre société.
Critique : Ekho, ou la nouvelle série d’Arleston (déjà connu pour Lanfeust de Troy, Gnomes de Troy ou les forêts d’Opale). Un univers décalé et très sympa.
L’histoire est originale, nous avons Fourmille Gratule, jeune étudiante, qui voyage à bord d’un 747 et qui, tout à coup, se retrouve dans un autre monde. Alors au début, elle est un peu perdue, mais très rapidement, l’aventure commence. Originale donc, comme tout ce que fait Arleston. C’est sympa, sans être totalement captivant, mais c’est agréable à lire.
Quand aux dessins, j’aime bien, l’illustrateur a su dessiner cet univers totalement décalé créé par Arleston. Il y a des détails, des visages bien travaillés, ce n’est pas, à proprement parler des dessins très réalistes comme j’ai l’habitude d’apprécier mais ça reste agréable à regarder. Et puis il y a beaucoup d’humour dans cette bande dessinée, que ce soit par les dessins ou par le texte.
Une nouvelle série qui promet donc, une série digne d’Arleston !
Note : 4/5
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